Dépôt Institutionnel de l'Université BBA

Etude du rôle du citoyen dans la lutte contre les maladies à transmission hydrique

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dc.contributor.author Redjaoua Amina
dc.date.accessioned 2022-11-20T09:06:55Z
dc.date.available 2022-11-20T09:06:55Z
dc.date.issued 2022
dc.identifier.uri https://dspace.univ-bba.dz:443/xmlui/handle/123456789/2634
dc.description.abstract L’objectif de la présente étude est d’évaluer la réponse du citoyen envers les pratiques sanitaires de l’eau et cela par l’évaluation des attitudes et de la pratique des mesures de prévention à l’égard des maladies à transmission hydrique. Une enquête couvrant différents segments de la société de Bordj Bou Arreridj, a été menée du 16 avril jusqu’au 6 mai, sur 200 citoyens. Les participants ont répondu à un questionnaire devisé en six sections (les caractéristiques sociodémographiques, le choix de l’eau potable, la disponibilité de l’eau, les sources d’informations, les attitudes et les pratiques). Une analyse statistique descriptive, un test de chi-deux ont été réalisés à l'aide du logiciel SPSS. Les résultats montrent que la majorité des participants ont de bonnes pratiques 98.5% et de mauvaises attitudes (70%). Les analyses statistiques indiquent une association significative entre l’atteinte d’une maladie à transmission hydrique (P=0.044) et les attitudes négatives, aussi bien entre la position des personnes dans la maison de famille et les mauvaises attitudes (P=0.046). Alors qu’une association significative existe entre le niveau d’instruction (P=0.005) et les bonnes pratiques. En conclue que les citoyens sont actifs dans l’exercice des mesures de protection, mais ils ont un fort caractère de négativité envers la situation générale de l’eau potable. Les facteurs sociodémographiques jouant un rôle prédominant dans la négativité des attitudes citoyennes sont les responsables de famille et les personnes atteintes de maladies à transmission hydriques. De même, le facteur principale responsable de bonnes pratiques chez le citoyen est le niveau d’instruction, plus le citoyen est instruit et plus il a de bonnes pratiques. En perspectives, la sensibilisation des citoyens est encore recommandée. Il est aussi nécessaire d’avoir un comportement rationnel à l’égard de la conservation de l’eau. Cela ne se limite pas aux autorités, le citoyen est également responsable du développement de ses moyens scientifiques et de ses sources d’information, en améliorant ses connaissances sur l’eau, quel que soit son niveau intellectuel et scientifique, afin d’obtenir des meilleures mesures de prévention dans la lutte contre les maladies d’origine hydrique. Mots clés : eau, attitudes, maladies à transmission hydrique, pratiques, citoyens en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.title Etude du rôle du citoyen dans la lutte contre les maladies à transmission hydrique en_US
dc.type Thesis en_US


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