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dc.contributor.author |
KAHOUL RADHIA |
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dc.date.accessioned |
2021-07-07T09:26:19Z |
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dc.date.available |
2021-07-07T09:26:19Z |
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dc.date.issued |
2015-06-14 |
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dc.identifier.uri |
https://dspace.univ-bba.dz:443/xmlui/handle/123456789/843 |
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dc.description.abstract |
L’étude des relations entre l’organisation à l’échelle atomique, la microstructure et les
propriétés des matériaux, constitue le domaine de la science des matériaux. En plus de leur
comportement l’utilisation des matériaux dépend également de leur disponibilité, de leur cout.
L’émission des rayons X est un phénomène physique résultant du réarrangement électronique
d’un atome excité suite à l’interaction avec un rayonnement corpusculaire ou
électromagnétique. D'ailleurs, la production des rayons X caractéristiques dépend de la
transition entre les orbites électroniques des atomes de la cible. Quand un électron est éjecté par
une particule chargée, l’atome devient ionisé ou excité. L’excédent d’énergie est égal à l’énergie
requise pour extraire un électron vers un état excité. Cette énergie peut être libérée suite à la
transition d’un électron d’une couche plus énergétique vers une couche moins énergétique
conduisant ainsi à l’émission d’un rayon X.
La fluorescence X est une technique d'analyse élémentaire non-destructive de
l'échantillon. Elle est utilisée pour l'analyse de la composition chimique des matériaux
minéraux (céramiques, verres, glaçures, pierres,...).
Après une interaction par effet photoélectrique, il apparait un trou dans une couche électronique
interne. Il se produit alors un réarrangement électronique générant un photon X de fluorescence ou
électron Auger. La probabilité d’émission de photon de fluorescence est donnée par le rendement de
fluorescence ; c’est la probabilité qu’une vacance soit remplie via une transition radiative.
Le premier chapitre: Rappel théorique sur les phénomènes liés à la fluorescence X. Dans le
même chapitre, nous avons expliqué la notion et la méthode théorique pour calculer le
rendement de fluorescence.
Le deuxième chapitre : Construction d’une nouvelle base donnée ; c’est une représentation
des rendements de fluorescence expérimentale des sous couche ( ) Compilées et éditées
pendant la période de 1955 à 2015, pour les éléments de numéro atomique 40≤Z ≤96.
Dans le troisième chapitre : On a calculé les rendements de fluorescence empiriques des
sous-couches on utilise différentes fonctions analytiques. Pour ce faire ce travail, on utilise
la base de donnée construire dans le chapitre précédent des valeurs expérimentales, et
finalement une comparaison de nos valeurs et les résultats expérimentales, théoriques et
semi empirique des autre auteurs à été faite. |
en_US |
dc.language.iso |
fr |
en_US |
dc.publisher |
Faculté des Sciences et Technologies |
en_US |
dc.relation.ispartofseries |
;SM/M/PH/2015/06 |
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dc.title |
Construction d’une nouvelle base de données des rendements de fluorescence de la sous-couche |
en_US |
dc.type |
Thesis |
en_US |
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