Browsing by Author "Azouz Nacereddine"

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Valorisation de la phytodiversité des zones humides des hautes plaines constantinoises
(2020) Azouz Nacereddine
Cette étude a été réalisée sur 12 zones humides continentales des hautes plaines Constantinoises dont 10 sites sont classés dans la convention Ramsar, qui montrent des intérêts écologiques. L'objectif est de contribuer à valoriser la phyto-diversité de ces zones humides en se basant sur l'analyse qualitative de la flore. Les résultats obtenus que ces zones humides sont caractérisées par une diversité floristique importante estimée à 134 espèces, dominées par l'élément Méditerranéen (24.06%) avec un taux d'endémismes (2.25 %), la majorité de ces espèces sont annuelles (54.13%) et de type biologique thérophyte (55 %), un mode de dissémination dominant par les anémochores (42.1 %).La plupart des espèces ont un intérêt médicinal (20.3%) et fourragère (17.29%), la présence d'une espèce très rare (Scabiosa stellata) et 6 espèces rares, 5 espèces menacées et 3 espèces protégées au niveau national, rendent la région plus importante (d'une importance capitale). En effet, cette richesse floristique démontre l’intérêt pour les gestionnaires et les décideurs afin d’intégrer cette région dans les plans d’aménagement en vue d’une gestion durable.
Valorisation de la phytodiversité des zones humides des hautes plaines constantinoises
(2020) Azouz Nacereddine
Cette étude a été réalisée sur 12 zones humides continentales des hautes plaines Constantinoises dont 10 sites sont classés dans la convention Ramsar, qui montrent des intérêts écologiques. L'objectif est de contribuer à valoriser la phyto-diversité de ces zones humides en se basant sur l'analyse qualitative de la flore. Les résultats obtenus que ces zones humides sont caractérisées par une diversité floristique importante estimée à 134 espèces, dominées par l'élément Méditerranéen (24.06%) avec un taux d'endémismes (2.25 %), la majorité de ces espèces sont annuelles (54.13%) et de type biologique thérophyte (55 %), un mode de dissémination dominant par les anémochores (42.1 %).La plupart des espèces ont un intérêt médicinal (20.3%) et fourragère (17.29%), la présence d'une espèce très rare (Scabiosa stellata) et 6 espèces rares, 5 espèces menacées et 3 espèces protégées au niveau national, rendent la région plus importante (d'une importance capitale). En effet, cette richesse floristique démontre l’intérêt pour les gestionnaires et les décideurs afin d’intégrer cette région dans les plans d’aménagement en vue d’une gestion durable.